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Révolution Energétique

Blanche TO

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Posts posted by Blanche TO

  1. Bonjour,
    Merci d'avoir daigner répondre, mais cela dit, la réponse me paraître un peu trop simpliste : j'attendais plutôt une explication avec un exemple de séquencement de production sous forme d'une succession de sinusoïdes (plus ou moins patatoïdes du fait de la forme non propre du courant fourni par EDF...) et la réaction du système quand les 2 µonduleurs fournissent, puis quand la tension EDF disparaît...
    Mais bon, je pense que j'en attendais beaucoup trop.
    Il faudra que je fasse la manip moi même avec toutes les mesures de sécurité que nécessite ce genre d'opération (isolation galvanique notamment).
    Dans le cas présent, le respect à une quelconque norme n'est pas le propos : ce n'est que l'aspect technique théorique qui m'intéressait, et le reste viendrait éventuellement si cela ne pose aucun problème... point sur lequel j'ai un doute.

  2. Bonjour,
    Je désire poser une question technique à un spécialiste sur le forum :

    Un système photovoltaïque (panneaux solaires exposés ouest + µonduleur : P<=1kWh crête) raccordé sur le réseau de la maison d'un particulier est existant et fonctionnel en autoconsommation ;
    Pour augmenter légèrement la puissance produite, on envisage d'installer un deuxième système d'une définition en gros équivalente mais d'une marque différente et orienté est :
    donc, il y aurait 2 branchement distincts sur le même réseau domestique mais avec une courbe de production "acrobatique" du fait des expositions complémentaire des panneaux ;
    Question :
    -comment cela se comportera-t-il au niveau du Linky => la production sera-t-elle bien gérée (problèmes potentiels détection de la phase du 50Hz entre les 2 µonduleurs par rapport au secteur du réseau EDF),
    -comment réagira l'ensemble si le soleil est au sud et que le réseau EDF est coupé (les µonduleurs ne vont-ils pas continuer à générer du courant en se "répondant" l'un l'autre?
    Je pense que des personnes ont déjà du être confronté à ce genre de situation et que les réponses existent, mais je ne les ai pas trouvés sur le net...
    Merci par avance à celui (ceux) qui saura répondre.

  3. Il n'y a pas d'énergie gratuite : il a bien fallu développer, produire, exploiter et entretenir un matériel pour obtenir cette énergie.

    De temps en temps, certains gagneraient à arrêter de suivre aveuglément leurs idées mal pensées.

    On les retrouve sur tous les forums qui échangent sur le sujet et cela devient lassant.

    Il y a des évidences criardes et LapinCretin les exposent comme je les pense.

    Juste une petite constatation : combien de cours d'eau rencontrés en France qui ne sont pas exploités pour produire de l'électricité; je ne parle pas de ceux qui dégraderaient la vue d'un paysage, mais tout à fait isolés dans les campagnes ou en montagne; donc, je ne pense pas qu'on soit au maximum de l'exploitation hydraulique en France, tout au moins on peut sensiblement mieux faire (mais certains responsables freinent des 4 fers pour des raisons diverses).

  4. Eole, j'ai été dans le même cas il y a 20 ans : les combles laissaient apparaître les poutres qui soutenaient le plafond du dessous (plafond des pièces principales); outre le risque de passer au travers (bacula et plâtre), l'isolation succincte était faite de laine minérale soufflée sur une épaisseur de quelques centimètres.

    J'ai fait retirer toute la laine (aspirateur spéciale), poser des rouleaux de 10cm de laine de verre (c'est ce qu'on trouvait de plus courant à l'époque), poser de nouvelles poutres sur les anciennes en perpendiculaire qui ont été remplies elles aussi de 10cm de laine de verre.

    La finition a été de poser un plancher (matériaux agglomérés) par dessus permettant de marcher sans risquer de dégrader l'isolation.

    Quand il fait très froid (<0°C) ou très chaud (>35°C), je ne constate pas plus de 3°C de différence par rapport à la température de la pièce (mesure faite avec un pistolet thermique en plusieurs points).

    Aucune isolation n'a été faite sous les tuiles (seulement une toile bitumée pour éviter les problèmes de fuite quand une tuile bouge ou est cassée).

    Exemple de résultat ces temps-ci : le matin, il fait 22°C dans la pièce; j'ouvre 4h les fenêtres avec une température extérieure qui va de 14°C à 20°C quand je referme; les pièces sont alors à 20°C; dans la journée, je ferme les volets dont les pièces se trouvent au soleil (et les rouvrent après); quand il fait 30°C l'après-midi, je constate de nouveau 22°C le soir dans la maison. La maison est avec isolation extérieure réalisée aussi il y a 20 ans (7cm de matériaux isolants). Pour les moments de fortes chaleurs (35°Cà 40°C), j'ai fait installer une climatisation (1kW...) qui fonctionne globalement15 jours par an pour l'appoint.

  5. Bonjour,

    Je possède aussi un congélateur bahut qui a plus de 35 ans... j'avais choisi un modèle dit tri-isolation : je ne l'ai jamais regretté 😊.

    Il fonctionne toujours aussi bien, ne consomme pas son kWh par jour, ne fait pas de bruit, se met en fonctionnement rarement et est placé dans un local dont la température ambiante tourne autour des 18°C.

    Par sécurité, j'ai réglé le thermostat sur -22°C et un thermomètre m'indique la régularité du maintient de la température (sonde intérieure et affichage extérieur). Dans mon cas, je ne vois pas la raison de le remplacer.

    Pour répondre à Boris (il y a eu des digressions sur le thème du fil entre temps 😉), la première chose à faire est de savoir si le modèle en cause est super isolé ou non; s'il n'est pas super isolé, il n'y a pas à hésiter : il faut changer. S'il est super isolé, il suffit de mettre un appareil à mesurer les puissances consommées sur sa prise et ensuite de tirer les conclusions.

    Pour la question de la quantité d'énergie dépensée pour le fabriquer, il suffit de se poser la question différemment : que faire quand il sera en panne? en acheter un autre, évidemment 😚. L'énergie dépensée pour le fabriquer est ponctuelle alors que son utilisation dépensera cycliquement.

    Ne pas oublier que c'est un appareil qui consomme 365/365 (comme le réfrigérateur pour lequel il faut aussi se poser la question).

    Petite astuce : au moment de l'achat, ne prenez pas l'assurance supplémentaire payante qu'on vous propose; mais renseignez-vous sur son coût! si elle coûte chère par rapport au prix d'achat, le matériel n'est pas fiable (en choisir un autre); si elle est peu chère, les 2 ans contractuel de garantie suffiront (temps où les pannes de jeunesse, voire déverminage, est passé).

  6. Bonjour,
    Les lampes LED sont les seules à fournir un éclairage avec un bon rendement; le spectre lumineux est de mieux en mieux maîtrisé et adapté à nos yeux (température de couleur chaude pour le particulier, c'est à dire proche de 2400 à 3000K). Pour la sécurité de la vue, je n'ai rien à ajouter (je vis avec des LED chez moi depuis plus de 10 ans et ce n'était pas celles qu'on trouve maintenant).

    D'une façon plus générale, relativement au titre de ce fil, voici ce que j'en pense :
    Les formes proches des anciennes lampes à filament arrivent sur le marché (compatibilité avec les luminaires anciens).
    A mon point de vue, celles qui sont à retenir pour un usage domestique sont celles à filament (LED) plutôt qu'à composants discrets (CMS ou autres); le rendement ne devrait jamais être en dessous de 100lm/W.
    Le défaut majeur de ces ampoules vient de leur conception : le petit circuit d'adaptation qui est logé dans la douille se retrouve souvent à subir l'élévation de température de l'ensemble, conduisant à des coupures de courant dans l'ampoule (non réparable car tout est collé ou serti). On trouve aussi des mauvais contacts dans les éléments série/parallèle des filaments.
    Autre problème : les circuits étant poussés aux limites, le flux lumineux a tendance à baisser en cours du temps.
    Pour les personnes qui préfèrent les fluocompacts, il faut qu'elles sachent que ces ampoules émettent des ondes (principe du néon avec un circuit d'alimentation qui travaille à une fréquence elle aussi gênante pour les autres appareils environnants => problème potentiel de compatibilité électromagnétique). Ces lampes ont aussi souvent des problèmes d'allumage en fonction de la température ambiante (ce que n'ont pas les ampoules LED).
    Les ampoules LED ont eu du mal à arriver sur le marché uniquement pour des raisons de lobby (incandescent et fluocompact); maintenant que le pas est passé, on en trouve à des coûts nettement plus raisonnables (quoique... ).
    Seule utilisation vraiment pas recommandée pour les ampoules LED : l'éclairage d'un four.
    Enfin, certains essayent de remplacer les ampoules halogènes de leur voiture par des LED : pour le moment, seules les optiques dédiées peuvent utiliser cette technologie; si on remplace une halogène par une LED dans un phare, on rencontre un problème d'éclairage diffus au lieu d'un éclairage bien focalisé (le point focal du phare est optimisé pour la forme du filament d'une halogène mais pas pour la surface des LED que l'on veut changer).

  7. Regismu, je ne cherchais qu'à répondre à la question initiale de ce fil en structurant le propos.

    Si tu réalises une installation en autoconsommation sur la définition que tu donnes (c'est simple 😕), tu vas aller au devant de déconvenues qui ne te laisseront dans une tranquillité enviée 😫.

    Mais comme tu as l'air de très bien connaître le sujet, ce doit être parce que tu as une installation exemplaire : n'hésite pas à ouvrir un fil sur le sujet "Les installations des membres"; je pense que beaucoup des lecteurs seront intéressés par ta prose.

    Une information complémentaire à celle que tu as donnée ci-dessus : 8000€ est l'équivalent de plus de 53MWh sur le réseau public; quand on voit les bilans énergétiques des personnes qui ont franchi le pas d'une installation, Eole a de quoi se poser la question d'autant qu'une installation, ce n'est pas que la fourniture et la pose de panneaux PV... et ils doivent être loin des 8000€ annoncés!!! (mais on n'a pas le coût total de chaque installation 😟).

  8. Bonjour,
    Pour essayer de répondre à la question du thème de ce fil, tout dépend de l'acception que l'on donne au mot intéressant :
    "Qui suscite de l'intérêt" : le concept d'intérêt intellectuel conduit à penser qu'on concrétise un projet pour le plaisir de réaliser quelque chose d'utile ou non; là, le coût et le retour sur investissement n'ont qu'une part faible dans la décision; pour les actions de production d'électricité avec PV, cela pourrait s'apparenter à un passe-temps favori comme le bricolage, le jardinage, etc, où on achète du matériel qui aura souvent pas de retour sur investissement (sauf à un usage intensif) mais fournira une satisfaction personnelle non quantifiable financièrement.
    "Qui retient l'attention par quelque trait particulier" : là, l'intérêt est celui apporté en retour d'une action (pose d'une installation PV, par exemple) vis à vis de la société (on est reconnu dans son quartier comme la personne qui a investi dans cette installation et qui veut sans doute contribuer à évoluer vers un mode de vie plus dans l'air du temps.
    "Qui sert les intérêts matériels" : Sous cette forme, la rentabilité (donc le retour sur investissement à court terme) est le moteur de la démarche; là, on va chercher à acheter et installer à un coût le plus faible possible afin de minimiser la dépense initiale, avoir une maintenance la moins coûteuse induisant une disponibilité optimume, et obtenir un contrat de rachat de l'électricité produite par une société elle-même intéressée ou consommer soit-même cette électricité en substituant sa propre installation à celle du fournisseur officiel, ce qui permettra de rentrer dans ses fonds à moyens ou longs termes...
    Je pense pouvoir avancer que Gepeliste62 est plutôt dans les 2 premières acceptions; c'est tout à son honneur!!!
    Fort est de constater que la plupart des gens seraient quand même dans la troisième quoiqu'ils puissent dire (investir entre 10000 et 20000€ dans une installation simplement pour la beauté du geste n'est pas à la portée de toutes les bourses).
    Si je ne retiens que la troisième acception, d'un côté on a le passif (coût de l'installation -matériel et main d’œuvre-, maintenance, frais de dossier pour le rachat éventuel de l'électricité et frais de raccordement au réseau toujours nécessaire) et de l'autre l'exploitation (soit auto-consommation, soit revente, soit partage des 2). Initialement, le prix de rachat du kWh était non rentable pour celui qui l'achetait (EDF en l’occurrence) : ce n'était qu'un geste "imposé" pour tenter les futurs acquéreurs; mais cela a bien changé!
    Le vrai prix du kWh, sans règle forcée par l'état, ne devrait pas pouvoir être inférieur à celui du kWh acheter par un pays étranger (la France revend ou achète suivant les saisons et les besoins ponctuels de l'électricité) : dans cette condition (raisonnable financièrement), la rentabilité de la revente de l'électricité n'est pas évidente. A la vue du coût du kWh acheté par un particulier, on pourrait penser que la solution est l'autoconsommation; sauf qu'il faut toujours avoir un contrat de branchement au réseau public pour le cas où le particulier serait en manque de génération (consommation ponctuelle supérieure à l'estimé ou plus simplement une panne...).
    En résumé, soit on ne veut pas se casser la tête avec le stockage (batteries ou autre) et on revend presque tout, soit on désire avoir une installation presque autonome et là, ça coûte beaucoup plus cher. Intuitivement, je pense qu'en ville la revente est plus confortable et qu'en rase campagne l'autoconsommation peut être envisagée. Maintenant, pour la question si c'est rentable ou non et qu'est-ce qui est le plus rentable, un autre fil prévu de ce forum devrait développer l'idée.

    Bonne journée.

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  9. Les super-condensateurs? il est grand temps de prendre en compte cette technologie; rien à voir avec les autres formes d'accumulateur, ce qui a pour conséquence qu'il faudra aussi développer les interfaces de charge et décharge (entre les super-condensateurs et les utilisations) car la forme de la courbe de décharge en 1/x ne permet pas de les exploiter en plug & play.

    Vivement qu'on ait cette technologie dans les voitures (et pourquoi pas dans les maisons 😊).

    J'espère seulement que les lobbys industriels ne fausseront pas la donne.

    Merci pour le lien (tient! j'ai bien compris leur anglais 😄).

    Vraiment à suivre.

  10. Bonjour,
    Je me reconnecte pour réagir... Non, je ne suis pas intoxiqué par d'autres personnes ou organismes : je suis un technicien dans l'âme, et le reste est pour moi de la foutaise ou de la littérature.
    D'abord, dire que mon choix de rester chez EDF est mauvais : je rappelle que mon coût -tout compris- est de 0,15€ / kWh... sans me prendre la tête avec des tarifs jour et nuit, ni des contrats obscures; qui peut en dire autant?
    Pour la polémique avec les moyens de générer l'électricité, je n'entre pas dans ce débat qui est hors sujet.
    Dans le domaine de la durée de vie des PV, étant dans le métier de la Sûreté de fonctionnement et plus spécifiquement dans la fiabilité, je me permets de dire que les chiffres annoncés par certains (25, 40ans, etc) n'engagent qu'eux; surtout que dans 25 ans ou 40 ans, ils ne seront vraisemblablement plus là pour assurer leurs obligations. Une chose est certaine : des panneaux posés simplement sur une toiture et exposés en plein soleil peuvent atteindre des températures supérieures à 60°C; les lois d'augmentation des taux de défaillance des semi conducteurs (base des PV) en fonction de la température (loi d'Arrhenius en autres) montrent qu'une dégradation successive de ces panneaux est à prévoir, d'autant que, si la conception ne prévoit pas de tolérance aux pannes, le rendement de l'ensemble va vite devenir catastrophique. La durée de vie sera consécutive à une utilisation dans des conditions non optimumes : certaines installations prévoient déjà un conditionnement pour abaisser à des valeurs acceptables la température des PV en fonctionnement; c'est donc que le problème est déjà tracé. Je pourrais rentrer plus dans le détail, mais le sujet, ici, se veut plus de vulgarisation.
    Quant à dire qu'un fournisseur de PV assure le rendement (80% minimum est cité plus haut...), il faudrait qu'un constat (mesures circonstanciées) soit réalisé à la livraison du chantier d'installation, puis réitéré régulièrement (tous les ans, par exemple, à la même époque dans des conditions très voisines); ensuite, si un écart <80% (dans l'exemple cité) est constaté, que fera le fournisseur? Il suffit de voir ce qui ce passe avec les batteries des voitures électriques quand un client demande un recours s'il constate que son autonomie réelle a sensiblement baissé...
    Donc, je maintiens les chiffres que je citais dans mon intervention précédente, même s'ils ne plaisent pas à certains; l'avenir dira qui a raison.
    Bonne fin de journée.

  11. Juste pour dire : si on part sur une hypothèse d'un coût matériel de 4000€ (pour reprendre les derniers chiffres cités ci-dessus et à condition de faire l'installation soi-même), et en supposant que le kWh est à 0,15€ (coût réel constaté sur mes factures correspondant au prix payé sur une année divisé par le nombre de kWh dépensés, ce qui donne le vrai prix du kWh...), cela correspond à 4000/0,15= 27,7MWh de consommation, soit, pour moi, l'équivalent de 8 ans de consommation ( mais dans mon cas, sans aucune contrainte puisque branché sur une prise EDF 🤔)...

    Pour cet exemple de PV relativement optimiste (pas de pannes prises en compte pour diverses raisons...), j'en conclue que ce ne sera jamais rentable; je pose en hypothèse réaliste qu'au bout de 10 ans, l'installation sera à remplacer (et non pas 20 ans comme certains installateurs le pensent).

    Et là, on est parti sur une puissance de 3kWc... chez moi, je dispose de 6kVA potentiellement! Pour ma voiture électrique, je n'ai pas à me poser de question pour la charger sur une prise dédiée.

    En résumé, je pense que pour un particulier, ce n'est, pour le moment, pas intéressant; cela doit commencer à le devenir pour des fermes solaires où la gestion de l'ensemble n'est pas sur la même échelle...

    • Confused 1
  12. Bonjour,

    Depuis quelques années, je fais régulièrement le point sur le coût du matériel pour une installation PV et jamais je n'ai pu constater une quelconque rentabilité du système, sans parler du coût et de la complexité de l'installation... à part vouloir se monter une installation indépendante et en être fier, je ne comprends pas l'intérêt : le matériel est très cher, l'ensoleillement au nord de la Loire très incertain, la période d'ensoleillement direct assez réduite, le matériel souffre de la chaleur quand le soleil tape dessus (réduisant sensiblement la durée de vie des PV et assez rapidement leur rendement qui n'est déjà pas extraordinaire (de l'ordre de 15 à 20% dans le meilleur des cas quand ils sortent d'usine). De plus, il faut compter sur un nettoyage régulier des surfaces réceptrices faute de quoi le rendement s'écroulera.

    Je ne demande qu'à changer d'idée, mais les chiffres sont là 😕.

    J'ai tendance à dire bravo aux "mécènes" qui se sont lancés dans ces projets (ou alors, on leur a menti pour leur faire signer un contrat et ils constatent après coup les pertes...).

    Je suis curieux de lire les réactions positives sur le sujet ☺️.

    Bonne journée.



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