MIKE B
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Bonjour Louis. En regardant vos chiffres de débit du canal, en prenant celui de janvier : 630 m3/h, cela représente seulement 0,175 m3/s , ce qui est très faible ; il faudrait au moins dix fois plus pour avoir un potentiel de puissance de l'ordre de 35 kW. Question : que s'est-il passé depuis le temps ou le moulin tournait avec un canal de 2m de largeur ?. Par ailleurs, pouvez-vous vérifier par d'autres moyens les débits que vous annoncez ; l'idéal serait de mesurer la veine d'eau au niveau de la chute : largeur, hauteur, vitesse juste en amont. A suivre avec plaisir.
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Au lieu de cette autoconstruction bien difficile, je suis persuadé que l'avenir tout proche serait celui de kits de qualité, produits en France. J'avais, il y a maintenant longtemps, réalisé les plans d'une petite éolienne pour une association Africaine, hélas vite disparue. J'ai, depuis peu, repris cette étude, et je souhaiterai trouver une coopération technique avec un électricien - électronicien. Il me reste 6 pales en verre-polyester ( L=80 cm ) de quoi réaliser deux petites éoliennes. L'idéal serait des kits allant de 1 à 10 kW. De plus, j'étudie aussi une petite éolienne verticale tripale, de technologie simple et solide, dotée d'une régulation centrifuge.
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Pour déterminer une puissance théorique, outre la hauteur de chute, il faut aussi les dimensions du flux d'eau dans le canal d'arrivée : largeur, hauteur et vitesse du courant juste avant la chute. A suivre avec plaisir.
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Pour un diagnostic, il faudrait nous fournir des données, par exemple : vitesse moyenne du vent en haut du mât, diamètre de l'hélice et puissance de l'alternateur. Une remarque, aucune éolienne ne peut produire avec un vent de 2m/s , mais sans être couplée à l'alternateur, elle peut tourner pour " faire joli " !
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En effet, c'est important pour produire localement de l'électricité propre, avec des puissances de 5 à 50kW et plus. De nouvelles possibilités existent avec un petit aménagement des sites. J'ai longtemps étudié et comparé diverses solutions pour les torrents et rapides, et trouvé une technologie assez simple qui peut s'appliquer ici : c'est " l'hydrolienne - turbine de surface à axe incliné " qui a fait l'objet d'une récente demande de brevet. Je me ferai un plaisir d'en faire profiter les heureux propriétaires de tels moulins. Ce qui est important, c'est de bien mesurer le potentiel énergétique : débit, hauteur de chute et vitesse du flux en amont.
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( Suite, après un blocage )
La meilleure solution, pour ne pas ruiner l'écologie et l'harmonie naturelle du golfe, serait de placer dans les zones de forts courants ( exemple : La Jument ) des hydroliennes de surface, et de grandes puissances.
Autres sites intéressants : Etel et Port Louis, pour les plus connus.
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Après la réalisation de La Rance, il y a eu un vague projet totalement farfelu, celui des " Iles Chausey " qui consistait à créer un golfe fermé entre Cancale et Granville en passant par les Iles Chausey !, avec, en plus, des profondeurs de moins 40 m. Projet bien vite abandonné.
Pour être sérieux, la France dispose de plusieurs sites très intéressants : en premier le Golfe du Morbihan qui présente un potentiel formidable avec une entrée étroite à Port Navalo et des fonds rocheux de faible profondeur. Mais n'y pensez pas ! La meilleure solution, pour ne pas ruiner l'écologie et l'harmonie n
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Le 31/08/2019 à 17:39, adesir a dit :
Evidemment, mais les études de potentiel de production des usines marémotrices ont été relancées lors des études du potentiel de production des hydroliennes. C'était une indication pour ceux qui cherchent à se renseigner sur les raisons de l'abandon de la filière.
Dans mon souvenir, ces études donnaient quelques endroits valides dans le monde, peu en France.
Après la réalisation de La Rance, il y a eu un vague projet totalement farfelu, celui des " Iles Chausey " qui consistait à créer un golfe fermé entre Cancale et Granville en passant par les Iles Chausey ! avec en plus des profondeurs de moins 40 m. Projet bien vite abandonné.
Pour être sérieux, la France dispose de plusieurs site très intéressants : en premier le Golfe du Morbihan qui présente un potentiel formidable avec une entrée étroite à Port Navalo et des fond rocheux de faible profondeur. Mais n'y pensez pas ! La meilleure solution, pour ne pas ruiner l'écologie et l'harmonie naturelle du golfe, serait de placer dans ses zones de forts courants ( exemple : La Jument ) des hydroliennes de surface, de grandes puissances.
Autres sites intéressants : Etel et Port Louis, pour les plus connus.
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Il y a 22 heures, MIKE B a dit :
Une réalisation comparable à celle de la Rance a été réalisée avec succès en Coré du Sud.
Précision : l s'agit de la centrale de SIHWA de puissance max 254MW
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Une réalisation comparable à celle de la Rance a été réalisée avec succès en Coré du Sud.
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Bonjour à tous
Je me présente : ingénieur retraité, voici mon parcours, en résumé : après un long service militaire dans la marine, j'ai, par chance, toujours travaillé dans l'ingénierie et les domaines d'innovations, depuis la sidérurgie jusqu'au spatial ( CSG - KOUROU ), en passant par l'aérien. Avant ma retraite, j'avais débuté des études sur les énergies éoliennes et marines que j'ai poursuivies avec des études spécifiques en aéro et hydrodynamique. Ceci a été concrétisé par plusieurs brevets récents ; deux exemples : "Récupération de l'énergie de déferlement sur digue " et " Hydrolienne de surface pour rapides et torrents " Par ailleurs, j'ai repris deux anciennes études de petites éoliennes réalisées pour une association africaine, hélas vite disparue. Je recherche des coopérations techniques dans les domaines suivants : mécanique, électricité, hydraulique HP . Il reste beaucoup à faire pour remonter le niveau trop faible des réalisations françaises, en particulier après les échecs EMR retentissants des grandes entreprises, échecs dus à trois niveaux d'incompétences ! Vous pouvez m'aider et créer une " Sart Up "
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voile de traction auto portée pour cargos
in Energies marines
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Bonjour
Votre voile est en fait une variation sur le modèle des kites et Yves PARLIER l'a étudié et expérimenté bien avant vous, avec maintenant une réalisation" Beyond the sea ". Par comparaison avec les voiles classiques, qui équipent depuis peu des petits cargos, et dont on peu réduire la portance à la demande, les problèmes non résolus par les kites de traction se situent surtout au niveau des limites : vents trop faibles ou inexistant et vents trop forts !