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Révolution Energétique

BLabrique

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  1. Il y a 8 heures, Cerveaulent a dit :

    650€ le kWh, vous êtes sur? je suis à 150€ le kWh pour du lifepo4 (35kWH)

    utiliser la batterie du V.E. en secours, ok... mais au delà, c'est très relatif; ce sera au détriment de la durée de vie du véhicule

    j'alimente la maison complètement, C.E., chauffage PAC & V.E. compris, pendant 10 mois, et je prends le complément à EdF de fin Novembre à fin Janvier. Ce complément ne représente que 40% de la consommation totale de ces 2 mois. C'est l'exposition qui me limite la production: obstacles au Sud. Si le soleil brille toute la journée, même début Janvier, la production est suffisante pour   24 à 36h

    De fait, l'abonnement me coûte presque la moitié de la facture annuelle

    "Durée de vie calendaire > 10 ans ..." !!! " et "Nombre de cycles : de 2000 à plusieurs milliers" (https://www.powertechsystems.eu/fr/home/technique/la-technologie-lithium-fer-phosphate/)  

    alors que  le lithium c'est > 20 ans et bien géré (25% à 75%%) 7100 cycles (cf.la méta-analyse suédoise https://cleantechnica.com/2018/08/26/the-secret-life-of-an-ev-battery/?fbclid=IwAR084NKGd1_c4yPnCyQaOMeV69V3EqPZEul22fyCvVgdynhU87cGQmIEzMk

    )

  2. P.S. 2

    Voici l conclusion que je donne à l'étude précédente :

     

    Ces études & réalisations concrètes confirment donc bien le fait qu'une disposition

    des rotors en étage et asynchrone est plus avantageuse : le rotor Savonius permet dans

    un premier temps de faire démarrer plus rapidement le rotor Darrieus, mais dont ensuite

    il ne freine pas le mouvement (à cause de sa vitesse de rotation du rotor Savonius

    qui plafonne bien plus vite que celle du rotor Darrieus) ; de la sorte, cela génère potentiellement un rendement accru de 20% à 28%, suivant les études.

  3. Il y a 14 heures, yankee76 a dit :

    Une Savonius peut tourner a 80 - 100 Tr/m en produisant 2kWh? Quelle taille cela représente ?

    Sinon il faut prévoir un multiplicateur, ce qui vas consommer un peu de puissance.

    Sans doute que ce Libanais qui a réalisé entièrement artisanalement un éolienne Savonius (en ville), y arrive-t-il : https://www.neozone.org/innovation/il-invente-une-eolienne-avec-des-produits-de-recuperation-pour-alimenter-sa-maison-en-electricite/

  4. Il y a 13 heures, yankee76 a dit :

    Apres réflexion ,tu ne pourrais pas avoir un moteur de Zoe?

    Il a l'avantage d'avoir un rotor bobiné, cela permet de beaucoup diminuer l'effort au démarrage, ensuite il "suffit" juste de moduler le courant du rotor en fonction du vent, un peu comme un MPPT solaire !

     

    Le but était écologique : recycler le moteur de ma Leaf (que j'ai gardée comme batterie stationnaire). L'idée est toutefois bonne sur le plan technique.
     

  5. il y a 7 minutes, yankee76 a dit :

    Bienvenu Bauduin.

     

     Gros projet, l'ideal est que le générateur soit adapté a l'éolienne (ou l'inverse) surtout pour la vitesse de rotation, il faudrait avoir la courbe de regeneration de la Leaf pour determiner la vitesse de rotation ideal.

    Effectivement, mais à défaut de lavoir, j'ai projeté donc (sous un des liens) les données suivantes :

     

    En principe, avec la Leaf sur route en mode régénération des batteries lors des décélérations, le score

    de la production équivaut (moins l'effet des frictions mécaniques) à celui de la consommation.

    Avec une moyenne de 40 km/h, je consommais en été 10 kW par heure maximum. En partant d’un régime

    du moteur qui correspond donc à 10 km/h sur route (en décélération), le calcul suivant permet de se rendre compte que la production pourrait atteindre en moyenne les 2,25 kWh produits par heure dont j'ai besoin.

     

    Il faudrait donc calculer le nombre de tours effectués par minute par le moteur-générateur, sachant que

    le rayon d'une roue est de 26 cm (tenir compte de l'écrasement du diamètre dû au poids sur route

    et donc < 2 cm en moins et donc prendre en compte 25 cm de rayon).
    A chaque tour de roue c'est 157 cm de parcourus. Sur 40 km (4.000.000 cm) par heure, c'est 25.478 tours

    et à la minute, c'est 425 tours et donc 7,07 tours par seconde pour produire 10 kWh par heure.
    Comme je n'ai besoin en moyenne que moins du quart de cette production par heure (2,25 kWh),

    1,59 tours par seconde (ou 95,4 tours par minute) en moyenne pourrait donc suffire pour y arriver.

    A titre de confirmation, je reprends une autre base de calcul et qui est celle de prendre en compte

    les caractéristiques du moteur de la Leaf, à savoir, comme indiqué au début, qu'il est capable de produire

    80 kW à 2.730 tr/min (un kWh via 34,125 tours par minute). Pour arriver à produire les 2,25 kWh nécessaires,

    il devrait alors tourner à 76,8 tours par minute et donc à 1,28 tours par seconde.

    Cela à l'air de coller avec les 1,59 tours par seconde tels que calculés au paragraphe précédent.

  6. Je dispose d’un habitat ancien privé et professionnel wallon (Belgique) de 250m² qui a atteint le statut BEPOS complet depuis 2012

     

    Il s'agit sans doute de la toute première réalisation du moins en Belgique qui a permis à un habitat ancien (1967) d'accéder au statut complet BEPOS : eau dont l’eau potable, électricité (chauffage via une PAC géothermique, éclairage, cuisson etc.). Entre autres innovations : récupération des eaux usées de douche pour alimenter trois WC.

    (Détails sur https://www.retrouversonnord.be/autarcie.htm).

    En Wallonie, nous disposons comme prosumer jusqu’au 31 décembre 2030 du système du Net metering (compensation via le réseau) qui nous permet moyennant un tarif de prélèvement sur le réseau ; les soi disant « frais de réseau », mais sont en fait une arnaque légalisée cf.  https://www.retrouversonnord.be/TARIF_PROSUMER.pdf).

    D’ici là, j’envisage sous peu de relier mes deux Nissan Leaf à un système qui permettra de les utiliser comme batteries stationnaire (V2H/G/X – cf. https://www.retrouversonnord.be/mobilite.htm#batteries) ; un tel système est bien meilleur marché et surtout bien plus écologique que d’acquérir des batteries stationnaires indépendantes. Le cumul de leur capacité est de 126 kWh (75 kWh utiles si on veut respecter la plage 20%-80%).

     

    Ensuite, j’étudie l’implantation d’une éolienne domestique pour tendre à m’affranchir totalement du prélèvement sur le réseau. Il faut que je puisse produire de novembre à mars inclus, 5000 kWh via l’éolienne. Il me faut donc une éolienne qui produise le plus constamment possible et même si elle produisait globalement moins ; en effet, rien de ne sert de produire d’un coup énormément d’électricité qui sera alors injectée gratuitement sur le réseau (on ne peut pas encore la revendre en Wallonie !!!).

    La seule éolienne qui répondrait à ce critère essentiel est du type Savonius, car elle est la seule à démarrer avec des vents de moins de 10 km/h. En plus, elle ne s’emballera pas en cas de fort vent, est nettement plus facile d’entretien et entraînera moins le courroux des voisins (car très peu bruyante)

     

    Comme j'ai le temps pour ce faire (rappel jusque fin 2030), j’étudie actuellement la possibilité de récupérer le moteur électrique de ma Leaf 1 comme générateur. L’avance avec la savonius, c’est qu’il sera placé d’une manière très accessible. J’ai ensuite découvert que AUDI l'avait déjà réalisé avec succès en Espagne : www.leblogauto.com/insolite/moteur-audi-e-tron-moulin-eolienne-73580).

    Voici le détail de mes projets :
    https://www.retrouversonnord.be/Helecine.pdf

     

    Merci de vos conseils.

    • Like 1
  7. Le 28/09/2019 à 08:54, Gwladys a dit :

    En ce qui concerne le stockage électrique (car j'utilise plusieurs autres stockages), il ne faut pas oublier que le kWh batterie est très très onéreux et qu'il est préférable d'utiliser les kWh produits localement en priorité et les kWh issus d'autres stockages de masse avant les batteries.

    Quand on a une VE; on ne devra pas investir dans des batteries : on fait d'une pierre, deux coups !
    De plus, il faut se rendre compte que le coût au kWh d'une batterie de traction (VE) revient par exemple pour la Leaf 62 kWh, à 650€ et donc à la moitié prix d'une batterie stationnaire !
     

  8. Le 09/09/2019 à 22:11, gepeliste62 a dit :

    ce serais plus après 2025 d'après les bruits de couloir

    si tu veux le faire le plus vite possible, il te faudra choisir l'une des voitures encore en vente qui dispose de la prise chademo

     

    bien,

    mais en quelle proportion?

     

    J'ai tenté d'importer le système IKS que Nissan avait implémenté rapidement après la catastrophe de Fukushima.C'est un système complet qui permet aussi de gérer le photovoltaïque mais le big problème c'est que IKS n'a pas été foutu de faire les démarches pour obtenir la certification CE (ce qui rend le système hors couverture d'assurance en cas d'incendie !).

    Il existe la Wallbox Quasar (chademo):

    1° elle est en monophasé (alors que pratiquement tout l'habitat est en triphasé !);

    2° elle ne sers plus produite ; un modèle triphasé devrait apparaitre fin 2023.

    Il y a aussi le système développé par EDF avec Dreew pour les entreprises (à quand pour les particuliers ?)


    Avez-vous connaissance d'autres systèmes V2H accessibles actuellement  ?

    En ce qui me concerne, la fin du système de compensation (Net metering) wallon s'arrêtera le 1er janvier 2031.
    J'ai calculé que, produisant ca 12.500 kWh par an (photovoltaïque) 

    1) en H.S. (d’avril à septembre), le prélèvement de 1.700 kWh sera annulé via le seul apport du V2H ;

    2) en B.S. (d’octobre à mars) le prélèvement habituel est de ca 5.500 kWh :

    ce dernier en déduction de l’apport du V2H le ramène à 4.200 kWh.

  9. Système utilisant l’effet joule (chaleur produite par frein hydraulique)

     

    https://www.retrouversonnord.be/drawing-heat-generating-windmill.png

     

    « L'aérogénérateur thermique est un système qui convertit l'énergie du vent en chaleur stockée, lorsque l'on n'en a pas besoin, dans un réservoir d'eau bien isolé. Ces systèmes constituent probablement de nos jours le moyen le plus pratique et le plus rentable d'utilisation de l'énergie éolienne dans un foyer domestique. »

    (Mc Cutcheon, Sean, L'énergie éolienne, Ottawa, Bureau de la conservation et des énergies renouvelables, 1981, p. 14 : cité par https://www.btb.termiumplus.gc.ca/tpv2alpha/alpha-fra.html?lang=fra&i=&index=alt&srchtxt=WIND%20POWER%20HEATER)
     

    N.B. Développé au Danemark après le premier choc pétrolier, un tel système peut s’avérer la solution idéale à plusieurs points de vue.

     

     

    Au vu de ce qui suit, ce type d’éolienne qui produit directement de la chaleur, apparaît comme étant sans doute la meilleure solution. « Cette technologie un rendement 2 à 3 fois plus élevé comparée à la version indirecte, c’est-à-dire impliquant l’étape de conversion en électricité. »

    En ce qui me concerne, je pense valoriser la chaleur ainsi produite pour réchauffer l’eau glycolée du circuit géothermique de la PAC.
    Une éolienne Savonius (à basse altitude ca 4 m) qui produit de la chaleur par effet joule via le frein hydraulique exercé pourrait alors faire l’affaire.
    L’accessibilité du système permettrait d’ailleurs de pouvoir après une première installation, d’une part, optimiser la hauteur du mat et, d’autre part, tenter d’y adjoindre judicieusement plus haut un rotor Darrieus H pour en accroitre au besoin le rendement

    (cf. www.retrouversonnord.be/HYBRIDE-SAVONIUS-DARRIEUS.pdf).

     Sans l’intermédiaire (pénalisant) qu’est la production électrique, il y a dès alors nettement moins  de pertes et aussi moins d’équipements coûteux (générateur d’électricité, dispositifs électroniques de conversion, pompe, électrovannes… et tous, sources d’avaries potentielles).
    Lire aussi « Système de chauffage éolien sans conversion électrique » qui s’en étant inspiré a démontré qu’un tel système réalisé artisanalement s’amortit en un an ! (Cf. https://avenir-ingenierie.fr/wp-content/uploads/2022/09/HotEole.pdf)

     Pourtant et d’une manière surprenante quasi ignorée des instances et autres promoteurs des EnR, « l’éolienne productrice de chaleur résout les principaux défauts de l’énergie éolienne, à savoir : sa faible densité en énergie et son intermittence ». Il convient alors d’« utiliser des modèles similaires pour produire de la chaleur permet de réduire leur “énergie grise” (“embodied energy” : énergie nécessaire lors de la vie d'un produit, hors utilisation :fabrication, transport, entretien, recyclage...) et les coûts, ainsi que d’augmenter leur durée de vie et améliore leur rendement ».
    «  […] dans le cas de la micro-éolienne Savonius utilisée par les scientifiques comme modèle (rotor de diamètre 0,5 m, hauteur de mat 2 m), des calculs ont permis de déterminer que le diamètre optimal de l’hélice était de 0,388 m. » ; « […] l’éolienne Savonius s’avère en revanche une très bonne candidate pour la production de chaleur : cette petite éolienne est parvenue à générer jusqu’à 1 kW de puissance thermique (à une vitesse de vent de 15 m/s). »
    (Détails : https://www.researchgate.net/profile/Yuriy-Vagapov/publication/265796144_Direct_conversion_of_wind_energy_into_heat_using_Joule_machine/links/5807f64308aefaf02a


    Bien à vous,

     

    Baudouin Labrique



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