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Révolution Energétique

omnia-solus

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Posts posted by omnia-solus

  1. Bonjour,

    15 ans de recherches m’ont permis de finaliser une théorie que je vous invite à lire en pièce jointe, "REQ et énergie".

    La conception doit être rigoureuse et je n’ai pas les moyens nécessaires.

    Si la pratique validait mon raisonnement, de nombreuses applications seraient concernées.

    Alors si cela intéresse une personne, qu’elle n’hésite pas, le document est libre de droit.

    REQ et énergie.pdf

  2. Bonjour à vous,

    Bonne année à tous les membres du Forum, que vos vœux les meilleurs se réalisent.

    Christophe, il te faut réaliser que sans expérimentation, il te sera difficile de convaincre.

    Même un sujet relativement simple, détaillé et avec calculs, n'intéressera personne.

    Même si l'on ne baisse pas les bras il faut comprendre le monde tel qu'il est. Je suis dans la même situation, bien que ma théorie soit libre de droit.

    Il nous reste la possibilité d'information, un peu comme une bouteille à la mer. Et peut-être vingt ans après (délai de divulgation de certain brevet), si nous sommes encore de ce monde nous aurons la satisfaction de savoir si le principe théorique envisagé est correct. C'est une satisfaction insuffisante pour beaucoup, mais pour moi elle me suffirait.

  3. Bonjour à tous,

    Je vous souhaite une bonne année 2023.

    J'ai fait le tour de ma théorie sur le profit d'énergie électrique facilité. Je vous mets le document "REQ et énergie" en pièce jointe.

    Séparément, la partie mécanique et la partie électromagnétique, ont été validé sur des forums. Cependant dès que j'explique comment réunir les deux parties et les conséquences qui en découleraient, j'ai un silence radio total. 

    Comme pour Christophe, personne ne parait intéressé. Bien que le principe soit expliqué en totalité avec calculs.

    Cependant, j'ai le devoir d'information. Car si ma théorie s'avarait correcte, les conséquences seraient trop importantes.

    En attendant mieux, je m'oriente vers le transformateur pour trouver une sorte d'équivalence. Afin d'équilibrer l'induction du courant induit au secondaire. C'est loin d'être gagné mais cela m'occupe.

    REQ et énergie.pdf

  4. Bonjour,
    La piste du différentiel de rotation créé par des engrenages ne me permet pas d'équilibrer la fcém. J'ai donc cherché une autre piste plus probable en travaillant directement avec l'électromagnétisme pour créer le différentiel de rotation.  
    Voici mes nouvelles recherches dans ce lien :https://www.fichier-pdf.fr/2022/08/01/15-adi/ ou le fichier joint.
    C'est une hypothèse sans prétention affirmative.
    Précision : le symbole (=barréOméga) désigne le différentiel de rotation entre les rotors.

     

     

     
     

     

     

    1_5 ADI.pdf

  5. Bonjour,

    Je vous propose ma réflexion sur l’énergie, afin que l’on ne se méprennent pas sur l’objectif de mon idée que je mets en pièce jointe.

    Cette idée m'a demandé 4 années de recherche théorique. Je n'ai hélas pas les moyens d'expérimenter pour que la pratique valide ou invalide ma théorie. Cependant, l'importance de l'objectif m'interdit dans rester à ce stade. C'est la raison de ce sujet, en espérant intéresser un expérimentateur. Je n'ai aucune prétention de paternité ou autre futilité. L'urgence de la situation environnementale oblige.

     

    L’ÉNERGIE SELON MON INTERPRÉTATION

    Constatation :

    L’être humain a toujours tenté de comprendre les phénomènes naturels, bien que l’évolution de nos connaissances scientifiques, nous obligent parfois à abandonner nos dites certitudes devenues obsolètes. Heureusement les phénomènes naturels se manifestent concrètement, indépendamment de l’interprétation fournie. L’essentiel est que l’explication corresponde aux résultats pratiques. Cela donne une priorité inconditionnelle à l’expérimentation

     

    D’où vient l’énergie qui s’exprime sous plusieurs formes, mécanique, thermique, lumineuse, radiante, électrique, chimique, … Nous déterminons la nature de l’énergie en fonction de nos références, prisonnières de notre univers qui nous limite dans un espace-temps, dont l’une des frontières qui nous est imposée, est la vitesse de la lumière (Célérité). L’interaction possible avec ce qu’il y a derrière cette frontière nous est inconnue. Bien que la théorie Quantique nous ouvre d’autres horizons, des vitesses différentes ne seraient qu’apparentes (Vitesse supérieure à la lumière).

     

    Nous avons l’habitude de considérer une infime partie d’un ensemble très vaste quand nous raisonnons sur l’énergie. C’est suffisant pour les calculs en physique. Cependant il faut se rappeler que l’énergie est révélée par des centrales hydrauliques, thermiques, photovoltaïques, marémotrices, éoliennes … Ainsi, l’énergie vient de l’eau, du charbon, du pétrole, des électrons, du vent. Donc des cycles de la nature, des cycles de l’atome, des cycles terrestres, c’est-à-dire des nombreux cycles de l’univers interconnectés. Si c’était possible de remonter tous ces cycles jusqu’à l’origine (à notre connaissance), la question resterait posée : d’où provient l’énergie de la genèse ?

    Car c’est bien cette unique énergie qui par transformations successives, est actuellement présente dans tout l’univers sous différentes formes. Aucune autre énergie n’a été créée ni détruite, dans notre présent, paradoxalement persistant dans un perpétuel renouvellement.

    La célèbre maxime : rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme est une citation apocryphe d'Antoine Lavoisier sur la conservation des masses lors du changement d'état de la matière.

    En physique, l’énergie est une grandeur qui mesure la capacité d’un système à modifier un état, à produire un travail entraînant un mouvement, un rayonnement électromagnétique ou de la chaleur. Dans le Système international d’unités (SI), l’énergie s’exprime en joules

    Quatre interactions élémentaires, dite forces fondamentales sont responsables de tous les phénomènes physiques observés dans l’Univers. Ce sont : l’interaction nucléaire forte, l’interaction électromagnétique, l’interaction faible, l’interaction gravitationnelle.

     

    Ce qui explique que nous avons plusieurs formes d’énergie et les termes : manifestation, révélation et profit, sont plus appropriés à l’énergie que les termes production et utilisation.

    Il faut donc un déséquilibre pour transformer l’état du potentiel. En fonction de la nature du potentiel, le déséquilibre est provoqué par un vecteur d’interaction force : gravitationnelle (pesanteur), électromagnétique (induction), nucléaire faible (radioactivité), nucléaire forte (cohésion protons-neutrons). Ainsi la matière est un potentiel d’énergie apparemment équilibré, car tout bouge dans la matière.

    Ce qui explique aussi que l’énergie ne peut être créée ni détruite, car la transformation dans le temps d’un état en un autre état et l’énergie en elle-même. Il est donc impossible de conserver cette transformation, car il est impossible de conserver le temps.

    Nous n’avons pas encore de réponse académique à cette question : d’où vient l’énergie ?

    Exemples : Richard Feynman : « L’énergie nous apparaît sous un très grand nombre de formes différentes, et il existe une formule pour chacune. Ce sont : l’énergie gravitationnelle, l’énergie cinétique, l’énergie thermique, l’énergie élastique, l’énergie électrique, l’énergie chimique, l’énergie de rayonnement, l’énergie nucléaire, l’énergie de masse. Il est important de se rendre compte que dans la physique d’aujourd’hui, nous n’avons aucune connaissance de ce qu’est l’énergie. »

    Richard Feynman, prix Nobel de physique 1965, professeur à l’Institut de Technologie de Californie, définition donnée dans son cours de mécanique.

     

    Actuellement en 2022, les Quatre interactions élémentaires, n’apportent toujours pas de réponse précise. Nous savons simplement que l’énergie est le phénomène de transformation dans un laps de temps, d’un potentiel d’énergie déséquilibré. Potentiel d’énergie qui est la capacité de transformation.

    L’énergie se manifeste, ni au passé, ni au futur. Si elle appartenait au passé (sans existence), elle serait détruite. Si elle appartenait au futur (sans existence), il faudrait la créée. Or elle ne peut être créée ni détruite. De sorte que l’énergie de la genèse n’a cessé d’augmenter son entropie dans le présent.

    Cette transformation peut être constatée par la suite, (explosion de supernova …). Si nous pouvions observer le même moment présent, de l’explosion d’une supernova avec le même moment présent de la terre ; nous constaterions qu’il n’existe qu’un présent dans notre univers. Le potentiel (inchangé ou non) ou l’onde (inchangée ou non) que nous percevons après un certain temps, nous permet de traduire selon nos critères une information.

    Pour l’instant ce sont là, nos seules « certitudes ».

     

    Exemples non exhaustives de nos apparentes certitudes.

     

    • La terre : d’abord plate, puis ronde, puis centre de l’univers, puis l’héliocentrisme et la théorie actuelle.

     

    • Le courant électrique, dont le premier sens fût, du (+) vers le (-), puis du (-) vers le (+). Puis un compromis qui expliquait le sens (+) vers (-) par un déplacement des « trous ». Les trous sont alors l’espace laissé par les électrons qui eux circulent du (-) vers le (+).

     

    • Lavoisier était certain que rien ne se perdait et ne se créait. Or actuellement nous savons que dans une explosion atomique ou quand une particule de matière et d’antimatière se rencontrent il y a de la matière qui « disparaît ». La matière se transformerait en énergie.

    Le processus inverse, l’énergie se transformant en matière, pourrait tout aussi bien être probable.

     

    • Au début les particules étaient de la matière, maintenant le photon est selon le cas, une particule ou un grain d’énergie. Or l’énergie pure n’existerait pas, quoi que le terme « grain d’énergie» lui confère une existence matérielle, le terme quantum lèverait donc cette ambiguïté.

     

    • La contra-factualité de la théorie Quantique : des événements qui auraient pu se produire, mais qui ne se sont pas produits, influent les résultats de l’expérience.

    Le choix de décision ne serait alors qu’illusion ?

    Si passé et futur existent, le présent est à la fois le futur du passé et le passé d’un futur présent. Où se trouve l’influence de notre choix dans un présent qui est le passé du futur présent. C'est l'idéologie antagoniste du libre arbitre par rapport au déterminisme.

     

    • Toute compréhension est une question d’interprétation : la première dimension est une distance entre deux points. La deuxième et troisième dimension ne peuvent exister que grâce à la première. C’est oublier un peu trop vite que la « dite » première dimension ne peut exister que grâce à la dimension temporelle, « dite » quatrième dimension. Donc le temps, bien que valeur immatériel, devrait être la première dimension.

     

    • L'infini en mathématique est accepté. Sa conception en physique n’a pas encore été établie précisément. L’imaginer avec un cerveau fini, conditionnerait le fait que le cerveau pourrait être le siège du matériel et de l’immatériel, car les mathématiques sont abstraites.

      Définition de pensée : La pensée est ce qui est ramené à l’existence par le biais de l’activité intellectuelle. À ce sujet, la théorie Quantique nous rapproche de la frontière entre matériel et immatériel, donc de la dimension temporelle.

     

    • La statique n’est qu’une apparence, car un système statique n’est pas au repos. Il est en mouvement : par la rotation de la terre, l’orbite de la terre autour du soleil et le déplacement du soleil dans l’espace … Où se trouve le référentiel immobile et par rapport à quoi ?

     

    Il est complexe d’expliquer avec des mots connus, les phénomènes relativement énigmatiques de la dimension temporelle et de l’énergie. Ainsi, l’expression : pour avoir de l’énergie il faut mettre de l’énergie, nous induit en erreur. Les termes « avoir et mettre » sont inappropriés. L’énergie n’est pas une quantité matérielle, contrairement à son potentiel qui peut éventuellement l’être. Bien qu’il soit possible de manipuler certains potentiels d’énergie, par exemple avoir un stock de charbon ou de pétrole, que l’on peut transporter, apporter, mettre ou déposer ; les mêmes actions sont improbables avec l’énergie qui est une transformation dans le temps présent.

    Aucun procédé ne peut actuellement stocker, déplacer, créer ou détruire l’espace temporel d’un phénomène de transformation d’état par déséquilibre qu’est l’énergie.

     

    Les lignes électriques transmettent l’énergie au saint de leur masse. Énergie qui est l’onde électromagnétique. Car la vitesse des charges électriques (quelques fractions de millimètre par seconde pour un courant continu mais de somme quasi nulle pour un courant alternatif), est bien inférieure à la propagation de l’onde électromagnétique dans le cuivre, qui est comprise entre 175 000 à 200 000 Km/s,

     

    Le condensateur électrique ne stocke pas l’énergie, si non il stockerait le temps de transformation, il est simplement le siège d’un potentiel d’énergie. Potentiel qui diminue (au fil du temps) progressivement, grâce aux courants de fuite, qui déstabilisent constamment le potentiel électrique du condensateur.

    Similaire à un réservoir d’eau qui ne serait pas totalement étanche. Réservoir qui ne stock pas l’énergie gravitationnelle, mais qui est le potentiel d’énergie de cette force gravitationnelle.

     

    Ainsi, sans considération des pertes, les systèmes à contrepoids tels que, la poulie ou les ascenseurs à bateaux (Roue de Falkirk), ne nous permettent pas un excédant d’énergies. Car pendant la monté ou la descente, c’est-à-dire le changement d’état des vecteurs forces gravitationnelles, l’énergie nécessaire à la monté et compensée par l’énergie nécessaire à la descente. De sorte que l’énergie globale du système (E) est nulle.

    E = [(e monté) – (e descente)] = 0, les pertes sont compensées par l’énergie de déséquilibre

    Nous profitons d’une des énergies de monté ou descente pour obtenir le résultat final, c’est-à-dire l’état final d’équilibre du potentiel des forces gravitationnelles, par rapport à l’état initial des ces forces. C’est la notre seul profit.

    Chercher à profiter de plus d’énergie que celle nécessaire à sa révélation, en changeant l’état d’une des quatre interactions élémentaires, est actuellement un échec, car un excédant d’énergie est aussi impossible que la conservation du temps ou qu'un excédant de temps.

    Nous ne maîtrisons pas les forces gravitationnelles, ainsi que les forces d’interactions fortes et faibles. Toutefois nous avons un contrôle apparemment relatif sur la force électromagnétique grâce au phénomène d'induction.

    Ce qui permet la réalisation de centrales hydroélectriques, où nous profitons d’une transformation d’état continue des forces électromagnétique déséquilibrées, grâce aux cycles naturels terrestres (ou de l’univers). La centrale sans charge offre une f.é.m. qui est le potentiel d’énergie en équilibre des forces électromagnétiques. Et en charge, c’est la charge qui déséquilibre la f.é.m. et détermine la f.c.é.m. Ce déséquilibre demande l’énergie dont il a besoin aux cycles naturelles, aux pertes près, pour tenté de ce rééquilibrer. La f.c.é.m. est alors en opposition directe avec l’énergie nécessaire au rééquilibrage dans les systèmes actuels.

     

    L’étape suivante de l’évolution dans le domaine du profit d’énergie, pourrait être, d’employer l’interaction nucléaire forte, beaucoup plus forte que l’interaction nucléaire faible des centrales nucléaires. C’est le projet ITER. En ce cas le déséquilibre de l’état des forces serait réalisé au cœur des éléments les plus petits (actuellement) de la matière. L’infini est dans les deux sens.

     

     

    En résumé :

    À l'origine (le Big Bang), il ne devait y avoir qu 'une forme d'énergie qui a et augmente toujours son entropie par transformation de ses formes, afin de trouver un équilibre qui est le potentiel. Quoi-que le potentiel, de par son existence dans le temps pourrait être une forme d'énergie.

    Depuis l'existante de l'univers dans toute sa complexité, il n'y a pas encore eu (à notre connaissance) de création ou destruction d'énergie tel que nous le concevons.

     

    Malgré notre savoir, nous ne sommes pas plus avancés sur l'origine de la première forme d’énergie. Car, bien que nous mesurions le temps (ou espace-temps), avec une référence que nous avons créée, nous ne connaissons toujours pas la véritable nature du temps.

     

    J’oriente donc ma recherche sur l’interattraction élémentaire électromagnétique avérée dans les alternateurs actuels, que nous parvenons à maîtriser relativement facilement.

     

    Final Alternateur bis rotors.pdf

  6. Bonjour à tous,

    Je vous avez promis toute la transparence, la voici dans le document joint.

    J'ai corrigé et complété les explications. Il me reste à essayez de divulguer.

    Pour la petite histoire:

    J'ai voulu m'inscrire sur Twitter en Français, tout était en Anglais et mon compte a été suspendu avant d'être créé.

    J'ai écris au service d'aide, ils m'ont répondu en Anglais.

    Il y a 1 an j'ai dû abandonner "facebouck" pour les mêmes raisons.

    C'est la modernisation qui rapproche les gens parait-il?

    Salutations

    Autonomie en Énergie Propre.pdf

  7. Il est possible de simplifier.

    Je garde les engrenages coniques pour diviser le couple de réaction en 2. Ainsi il peut être multiplié par deux par le réducteur rapport 1/2 et se retrouver sur l’axe moteur opposé à lui-même et s’équilibrer.

    Il est aussi possible de supprimer la transmission par chaîne.

    Objet d’un nouveau document que je ferais plus tard. Obligations personnelles obligent.

    En attendant voici le schéma simplifié

     

    Simplification.png

  8. Bonjour à tous,

    Mon système ne peut pas fonctionner tout simplement du fait que que l'axe de sortie est en prise sur deux roues dentées tournant à des vitesses différentes. Cet axe de sortie est donc soumis à la fois à un mouvement rotatif et à une révolution de cet axe perpendiculairement à ce mouvement rotatif. C'est mécaniquement impossible car cet axe est supporté par un support fixe.

    J'ai donc résolu ce problème. La solution est relativement simple. Je fais un nouveau document. Je vais essayer de contacter des organismes susceptibles d'être intéressés par la réalisation d'un proto.

    Salutations.

  9. Bonjour à tous,

    Des précisions supplémentaires que je pense nécessaires:

    Sur la roue dentée bleue:


    1362364752_Rouebleue.gif.f14f37ceb75b1eb15bdd076e695bcb04.gif

     

    Puis un peu d'histoire pour comprendre mon raisonnement.

    L’être humain a toujours tenté de comprendre les phénomènes naturels. Pour cela il a fournie des explications qui ont nécessairement évolué dans le temps, au fur et à mesure que les moyens technologiques évoluaient.

    Par exemples :

    _ La situation de la terre dans l’espace, d’abord centre de l’univers, puis l’héliocentrisme, puis la théorie actuelle.

    _ Le courant électrique, dont le premier sens fût du (+) vers le (-), puis du (-) vers le (+). Puis un compromis qui expliquait le sens (+) vers (-) par un déplacement des « trous ». Les trous sont alors l’espace laissé par les électrons qui se sont déplacés du (-) vers le (+).

    En résumé, quelque soit notre analyse, cela n’empêche pas les phénomènes naturels de se manifester concrètement, indépendamment de l’interprétation fournie.

    L’essentiel est que l’explication fournie soit étayée théoriquement dans le respect des lois de la physique actuelle, en accord avec les résultats pratiques.

     

    Ainsi, la maxime : pour avoir de l'énergie il faut mettre de l'énergie, nous induit en erreur. Les termes « avoir et mettre » sont impropres. Toute manifestation d'énergie, n'est, ni possédée, ni apportée, n'y mise, n'y enlevée. L’énergie que nous percevons est l'expression ou la manifestation d'une recherche d'équilibre ou de rééquilibrage, que cette recherche soit, chimique, mécanique, radiante, atomique ...
    La deuxième page du document « TEEC » fournie des précisions à ce sujet.

     

    Cette « maxime » est effective dans mon Train d'Engrenages Equilibreur de Charge qui ne peut se mettre en rotation tout seul. Il faut (lui apporter de l'énergie) le déséquilibrer, si non cela ne tourne pas, comme la poulie avec contrepoids, ou les ascenseurs à bateaux.
    Pour le TEEC, les différences avec ces exemples avérés, sont:
    _ Pas de limite linéaire, car rotatif. Les déplacements des poids de la poulie sont linéaires ou les déplacements des bateaux dans les ascenseurs sont aussi linéaires.
    _ Ajustement automatique de la charge par auto-équilibrage de la réaction, car la réaction s'oppose à elle même. Similaire à la gravité terrestre dans les exemples cités.
    _ Indépendance avec la gravité terrestre, car j'utilise un potentiel d'énergie équilibrée ou auto-équilibré (fluide comprimé ou accus), qui (est l'énergie qu'il faut mettre) me permet de déséquilibrer le train d'engrenages.

     

     

    Actuellement, la poulie avec contrepoids ou les ascenseurs à bateaux ne peuvent pas s’autoalimenter, pour la simple raison que leur conception ne le permet pas. Il suffit d’une simple modification dans la conception du fonctionnement pour que cela soit possible.

     

    _ Pour la poulie avec contrepoids :

    Par exemple, si je veux soulever un poids de 50 Kg avec un poids de déséquilibre nécessaire au mouvement de 20 Kg, il suffit que le contrepoids soit égal à 70 Kg. C’est mathématique et le poids de 50 Kg se soulèvera sans « apporter » de l’énergie.

    Bien entendu, le déplacement des poids étant linéaire, nous sommes limités par la distance et il faut replacer un contrepoids de 70 Kg en hauteur pour pouvoir recommencer, le processus de levage d’un poids de 50 Kg. Cette manœuvre est donc (l’énergie qu’il faut apporter).

    Cependant, supposons que le système soit rotatif plus tôt que linéaire, sans limitation de distance, nous obtenons alors un système similaire au (TEEC).

     

    _ Pour les ascenseurs à bateaux, même raisonnement, par exemple la roue de Falkirk :

    Mettre quatre bacs (orthogonaux entre eux) par palier et remplir avec l’eau du niveau haut, l’un des bacs horizontaux droite ou gauche en fonction du sens de rotation souhaité, jusqu’à ce que le système soit déséquilibré.

    Bien entendu, les démentions doivent être en conséquence et quand le bac (x) à l’origine du déséquilibre est vertical il n’y a plus de déséquilibre. Cependant, si pendant le mouvement de rotation, le bac (x) devenant vertical se vide et le bac devenant horizontal se remplit, nous obtenons un mouvement similaire au moulin à eau. Et cela sans apport d’énergie autre que celui du cycle de l’eau et de la terre.

    En ce cas la différence du niveau de l’eau est un potentiel d’énergie en déséquilibre dont nous profitons pour le fonctionnement des ascenseurs à bateaux.

    Les sites expliquant le fonctionnement de la roue de Falkirk nous prouvent que nous pouvons profiter des effets de tentative de rééquilibrage de l’énergie, avec un rapport de facilité, entre l’énergie (x) déséquilibrée « apportée » pour le mouvement du système et l’énergie (y) déséquilibrée en « sortie » du système dont on tire profit.

    Les termes « apporté » et « en sortie » sont impropres, car l’énergie ne peut être manipulée, nous ne faisons que profiter des effets des tentatives d’équilibrage de l’énergie. Ces effets appartiennent dans le cas de la roue de Falkirk à deux cycles naturels : le cycle de l’eau dont l’une des particularités est la différence de niveau et le cycle de l’existence de la terre dont l’une des particularités est la gravité. Ces deux cycles s’influencent mutuellement dans le système des ascenseurs à bateaux.

     

    Pour le TEEC : je pense que le document est suffisamment détaillé.

    Le TEEC est similaire aux ascenseurs à bateaux, car plusieurs cycles s’y influencent mutuellement.

    Le raisonnement théorique détaillé dans le document « TEEC » respecte les lois de la physique. Le système est simplement novateur et nécessite pour l’appréhender que l’on comprenne les phénomènes énergétiques d’une façon plus pragmatique en fonction du niveau actuel de technologie.

  10. Possible à réaliser c’est certain, comment, c’est une autre histoire.

    Je dispose d’un burin, un marteau, une scie, des tournevis, limes, pinces et outils de jardinages.

    J’ai essayé de trouver une roue dentée comme la roue dentée bleue. Je n’ai pas trouvé d’équivalent. J’ai tenté l’aventure avec la société mécano, je n’ai pas réussi à me faire comprendre. Ils me proposaient des études qui n’avaient rien de commun avec ce que je demandais. Même en reprenant leurs photos de prototype et en les modifiant pour tenter de parler le même langage. Quand je leur ai demandé le coût hors série d’une pièce comme la roue dentée bleue, ils m’ont répondu qu’une seule pièce était d’un coût exorbitant et que cela ne les intéressait pas.

    J’ai donc essayé de simplifier le principe, car en fin de compte seul le module équilibreur pose interrogation, le reste est du déjà vu.

    En cela je suis un peut dessus qu’un simple système d’engrenage pose un doute alors que toutes les formules utilisées s’y appliquent comme pour tous les systèmes d’engrenages. Mais bon, c’est normale, l’inconnue représente toujours un doute.

     

    Je me suis donc attaché au simple fonctionnement des deux roues dentées brunes tournant à vitesse différente, en prises diamétralement opposée sur la roue dentée bleue. Et de la récupération du différentiel de rotation, par l’axe orange de la roue dentée bleue et par la roue dentée orange en prise sur la roue dentée bleue.

    J’ai laissé de coté tout le système hydraulique, qui est classique et peut être aussi remplacé par un ensemble électrique (accus, moteur électrique, alternateur, redresseur), cependant le rendement est moins performant qu’avec l’hydraulique et la tenue dans le temps des accus est plus faible. J’ai aussi laissé de coté toute la partie production d’électricité avec l’alternateur, qui est classique.

    Cependant le système n’ait pas si simple que cela.

    Car je dois récupérer deux mouvements de rotation, dont l’axe de leur couple respectif est perpendiculaire l’un par rapport à l’autre. J’ai pensée alors à utiliser des glissières, des poulies et des poids. Ce qui me fait tomber dans un système ou les efforts sur les glissières en fonction de l’orientation des forces risquent d’engendrer des pertes trop importantes. J’ai pensé utiliser des roulements pour les glissières et je retombe alors dans un système aussi complexe que les engrenages.

    Il y a des impératifs de diamètre à respecter, car tous les engrenages qui sont en prise doivent avoir le même diamètre entre eux, pour faire correspondre les vitesses. De ce fait si je trouve une pièce il faut que toutes les autres soient proportionnelles en rapport avec la pièce récupérée.

    Je te remercie pour ta proposition, cependant le prototype le plus élémentaire étant le module équilibreur, je n’ai pas besoin d’aimants. Je pense que des simples poids représentant les forces des couples pourraient mettre en évidence le principe.

    L’idéal serait de fabriquer des engrenages avec une imprimante 3D. L’imprimante est de ce monde, l’idéal je ne l’ais pas encore trouvé. Mais je ne désespère pas.

    Je t’adresse un message perso. Pour t’indiquer mon adresse.

  11. Bonjour gepeliste62

     

    Merci de t'intéresser à ma théorie, question judicieuse, car je n'ai pas abordé le sujet.

    Avantages de la pratique: Elle détermine de suite si cela fonctionne ou pas. Puis il y a le dépôt de brevet et le retour sur investissement.

     

    Obstacles à franchir:

    _ Financier, j'ai une retraite de 1387€ sans compte caché dans les iles exotiques.

    _ Aucune relation pour trouver des sponsors. Admettons que je passe le premier obstacle.

    _ Le prototype fonctionne ou pas. Si négatif la question est réglée.

    _ Si positif Il faut déposer le brevet et financer sa protection dont le montant est proportionnel à l'importance de l'invention. Alors la je suis certain que mes finances sont quantité infiniment négligeable.

    _ De plus, il y a deux protections, la nationale et la protection internationale (mes finances deviennent alors microscopiques).

    _ Encore de plus, la protection ne dure que 20 ans, les dirigeants pétroliers ( c'est un peut beaucoup eux qui dirigent le monde) n'ont qu'à attendre et ils auront le brevet gratuit.

    _ Encore encore De plus, si l'on veut contourner un brevet il suffit de changer ne fusse qu'une toute petite chose (épaisseur, diamètre, etc) pour déposer un autre brevet et le tour est joué. C'est la loi qui est sensée protéger les (honnêtes) citoyens.

     

    J'ai 71 ans, je commence à fatigué du combat de la vie. Et surtout, pour moi, l'énergie ne doit pas appartenir à une seule entité économique. L'énergie est comme l'eau, comme l'air, elle doit appartenir à tous. Quoique avec la pollution et la surpopulation ou la façon dont on consomme, l'eau est déjà payante, viendra inévitablement l'air en fonction de notre cage thoracique (je voudrais tant me tromper).

    Et sérieusement, même si j'avais du pognons, je ne suis pas de taille à lutter (légalement, juridiquement) contre toute la cupidité que l'humanité possède. Des personnes ont déjà été tués pour bien moins que cela.

     

    En espérant avoir répondu à ta question.

     

     

     

  12. Bonjour,

     J'ai enfin réussi la formulation globale de l'alternateur bis-rotors. L'équilibrage formulé dans les règles de la physique.

    Cela rend inutile l'expérimentation du MF.

    Cela permet aussi de supprimer beaucoup de pages inutiles.

     Reste l'alternateur bis-rotors qui à ma connaissance n'a encore jamais était expérimenté, sa réalisation est complexe.

    La formulation globale se trouve en page 10 du nouveau document que je joins.

    ABRA partage.pdf

  13. Bonjour,

    L’espoir d'une réponse du Doctorant en physique s'amenuise de plus en plus.

    Je n'attends plus. J'ai pris du recul et comprends mieux la situation. Le sujet est complexe, mes explications sont brouillonnes et parsemées. J'ai donc refait pas à pas la doc en entier sous le fichier "ABRA", non pas parce que j'ai pris le sujet à bras le corps mais pour "Alternateur Bis-rotors à Réaction Auto-équilibrée". J'espère avoir réussi un document épuré, plus clair, plus simple, plus digeste, que je mets en pièce jointe.

    Parallèlement j'ai contacté Meccano pour un devis. Bien que leur réponse ne soit pas entièrement satisfaisante, je vous joins les documents "Projet maquette", "Questions maquette", "Remarques maquette" et "Simplification maquette", afin que vous puissiez avoir un aspect partiel de la mise en pratique.

    j'espère que le montant sera dans mes modestes moyens. Si non il aura quand même servi à vous donner une idée plus concrète d'une première partie de ma théorie.

     

    ABRA.pdf Projet maquette.pdf Questions maquette.docx Remarque maquette.pdf simplification maquette.pdf

  14. Bonjour,

     En attendant une réponse du Docteur en physique, j'ai refait mon document.

    J'ai supprimé toutes les justifications inutiles, les redondances, simplifié les explications, ajouté des schémas plus explicites, afin qu'il soit plus lisible et plus compréhensible, en fin je l'espère.

    Vous le trouverez en pièce jointe.

    Actuellement aucune machine fonctionne avec sa réaction auto-équilibrée. En conséquence cette hypothèse est considérée comme une utopie. Cependant, faute de preuve un réel coupable, n'est pas réellement innocent pour autant.

    ARA.pdf

  15. Bonjour,

     

    Un docteur en physique m'a écrit que mon système était complexe dans sa globalité. Que je devais faire une formalisation par éléments pour parvenir à une formalisation globale. Se que je suis incapable de faire. Car j'ai imaginé ce concept avec mes capacités de technicien, inspiré par mes connaissances professionnelles.

    Il m’a également fait remarquer qu’en première analyse le système serait susceptible d’être instable.

    Pour l’instabilité que j’avais intuitivement supposée, je propose en sortie de l'alternateur de dériver un pont redresseur qui alimenterait des accus qui alimenteraient le moteur à courant continu de l'alternateur. J'ai pensé au courant continu pour éviter un convertisseur continu-alternatif qui alourdirait la formulation globale.

    De toute façon il faudrait des accumulateurs pour démarrer le système. Ces mêmes accus peuvent servir de régulateurs (condensateurs) en fonctionnement en charge.

     



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